Le Centre d’écologie urbaine mobilise son expertise ou l’expertise de tiers pour mettre en capacité les bruxellois·es de mieux comprendre les enjeux écologiques liés à nos modes de vie. Balades botaniques, conférences et débats, évènements engagés et formations, etc. sont notamment au rendez-vous.
Une formation qualifiante en fruiticulture urbaine !
Une formation qualifiante en fruiticulture urbaine !
Dans le cadre de la première édition de la semaine de la biodiversité, le Centre d’écologie urbaine coorganise trois ateliers avec la Ville de Bruxelles
Des balades botaniques guidées pour découvrir la flore sauvage du quartier durable Magritte à Jette
Sur 7 hectares de cultures dans la zone péri-urbaine de Bruxelles-Capitale à Anderlecht, l'Institut Redouté-Peiffer enseigne chaque année a plus de 200 élèves les techniques écologique d'horticulture.
En 2016 s’est développé un projet de verger urbain sur une ancienne friche à Ixelles, Avenue d’Italie. Ce projet innovant souhaite montrer à l’ensemble des propriétaires de friches urbaines qu’il est possible de les valoriser, grâce à des investissements faibles, pour l’ensemble de la communauté et des riverains. Aujourd’hui, le verger d’Italie est devenu un bien commun à la fois beau, productif et pédagogique qui chaque année devient de plus en plus attractif…
Dans cette dernière émission « Dans le plus simple appareil », nous nous intéresserons aux alternatives possibles aux grandes infrastructures pénitentiaires, sur fond de la contestation du projet de « méga-prison » d’Haren.
Entre concepts philosophiques et création littéraire, idéologie politique et société du spectacle, que penser de l’histoire du Trône de fer ?
Une discussion critique sur le contenu du livre et la méthode d’un groupe de chercheur.e.s pas comme les autres
Selon toute vraisemblance, les luttes écologiques et sociales sont liées. Qu‘il s’agisse par exemple des zones à défendre (« ZAD ») contre la construction d’un aéroport à Nantes, de la mobilisation contre une maxi-prison à Haren ou de la possibilité de construction d’une méga-usine de biométhanisation en Région de Bruxelles-Capitale, la lutte est portée par des acteurs qui se mobilisent autant contre des structures capitalistes et productivistes peu démocratiques et peu transparentes qu’en faveur du développement d’autres modes de gouvernance qui permettraient un dialogue social plus fluide et plus équilibré.
Qu'est-ce que l'économie circulaire? D'où nous vient-elle? Que représentent les flux de matériaux de construction dans le métabolisme de Bruxelles? Quelles sont les filières de réemploi existantes? Quels sont les freins et surtout les leviers pour développer l'économie circulaire à Bruxelles? Voici quelques questions auxquelles nous tâchons de répondre avec nos invités:
Fleurs de trottoirs est un projet visant à faire découvrir à tout un chacun la richesse des plantes sauvages qui poussent en milieu urbain à travers des balades botaniques tout public. Retrouvez ici toutes les dates de l’édition 2020 !
Nous étions "Dans le plus simple appareil" à le première foire du jardin naturel organisée par Bruxelles Environnement et coordonnée par la Ferme Nos Pilifs les 24 & 25 mars 2018.
Le jardin, ce havre de paix, de tranquillité, de retraite en marge des tumutes du monde. Le jardin dont la définition est presque la description du paradis...
Une nouvelle émission de radio, Dans le plus simple appareil, avec Lien Nauwelaerts, membre du collectif « pool is cool » qui vise à réintroduire la baignade publique à Bruxelles, et Dominique Nalpas, membre de l’association des « Etats Généraux de l’Eau ».
L’émission radio « Dans le plus simple appareil: dialogues citoyens pour l’écologie urbaine » / #DLPSA était proposée par le Centre d’écologie urbaine dans le cadre d'une mission d'éducation permanente avec Etopia Bruxelles.
Les loups voyagent, traversent relativement vite des territoires entiers. Régulièrement, la question de leur présence près des hommes suscite des oppositions violentes entre ceux qui demandent leur abattage et ceux qui demandent leur préservation.
Dans cette arène impitoyable qu’est la vie, nous sommes tous soumis à la « loi du plus fort », la loi de la jungle. Cette mythologie a fait émerger une société devenue toxique pour notre génération et pour notre planète. Aujourd’hui, les lignes bougent.
Lorsque l’on parle d’agriculture bio locale, on pense en générale à la qualité des produits vendus. Mais on oublie plus souvent la question de la qualité des intrants nécessaires à la fertilisation des sols. Or, il se trouve qu’il n’est pas si évident pour un agriculteur non-conventionnel de se fournir en compost de qualité ailleurs qu’auprès de l’industrie qui propose des composts certifiés « bio ».
Refresh, le Centre d'écologie urbaine et Etopia vous proposent une rencontre avec les réalisateurs du documentaire de 20 minutes "Jour de fête au chant des cailles [Docu]" ainsi que des acteurs du chant des Cailles suivi d'un débat avec Séréna Vanbutsele, urbaniste et architecte pour débattre sur l'exposition des espaces semi-naturels à l'urbanisation
Rencontre avec Antoine Attout de Financité, notamment en charge du programme CERMI (ULB): (É)Change Bruxelles. Ce programme a pour but de construire et de mettre en place des solutions d'échanges entre bruxellois pour une économie durable et solidaire.
Vous êtes propriétaire d’un terrain, vous êtes locataire, vous êtes jardinier, vous êtes architecte, vous voulez vendre, construire, jardiner… vous devez vous assurer que votre terrain n’est pas pollué et réagir à l’annonce d’une possible pollution.
La ville est par nature extrêmement consommatrice et presque entièrement dépendante de ressources externes – énergie, eau, alimentation. A mesure qu’elle croit et s’étale, elle pèse de plus en plus sur les écosystèmes
Sous la bannière de l’ « agriculture urbaine » se regroupent un ensemble de projets et d’initiatives qui, bien que fort différents, poursuivent une même vision : celle de rendre la ville plus autonome et plus résiliente en y intégrant des activités du secteur primaire de l’économie.
La notion de « bien commun » peut-elle nous aider à transcender les oppositions parfois si véhémentes qui existent entre le « public » et le « privé »?
Bruxelles est une ville haute en couleur qui recèle d’initiatives originales. Parmi elles, il y a des projets incroyables de permaculture et d’horticulture en contexte urbain, parfois bien cachés, qui s’inscrivent dans un vaste mouvement (agri)culturelle de changement de nos habitudes de production et de consommation. Ces projets étonnants sont souvent discrets ou peu connus du grand public, mais quelle surprise de les découvrir si proches et si aboutis !
Dans le cadre de l'Opération Phosphore qui recherche des solution décentralisées de gestion des matières organiques, nous nous interrogeons sur la possibilité de la micro biométhanisation comme moyen de traitement.
180 000 tonnes de déchets organiques sont produits chaque année à Bruxelles. Ces déchets proviennent des ménages, de l'Horeca, des parcs et des jardins. Bien qu'ils représentent une grande ressource en phosphore et en azote, 79% est incinéré.
Le but du jeu est de réaliser un maximum de projets sur le plateau de jeu en gagnant un maximum de points. Un projet est réalisé ou contré à chaque pli (un pli correspond à un tour de table).
Suite à un dialogue avec Aurore Chaigneau, professeur à l’université de Picardie Jules Verne, dans l’émission « dans le plus simple appareil » [2] diffusée sur Radio Campus le 7 novembre 2015, il ressort que le « commun » n’est pas une catégorique juridique à part entière. Il trouve une place assez étriquée dans le droit patrimonial de la famille qui forme la communauté des époux. En dehors de cette communauté, le commun se pose comme une création
Construit sur une des dernières réserves foncières de 24 hectares de la ville, le futur quartier Josaphat souhaite apporter un élément de réponse au consensus de toutes les échelles décisionnelles de la ville: le boom démographique. Mais qu'en est-il au niveau de la coopération entre les différents acteurs de la ville? Autrement dit, comment fait-on à l'aune des enjeux contemporains pour réaliser un projet si vaste? Comment fait-on des compromis? Comment mène-t-on ce qu'on appelle si couramment la "participation" avec la société civile? Au regard de ce qui se passe par exemple avec le Common Josaphat, comment devrait fonctionner la participation dans un monde idéal?