2020. Carbone (montage)

Le projet Carbone entend expérimenter des techniques de recircularisation de tous les flux de déchets verts (feuilles, pelouses, branchages, gros bois) au sein de quatre administrations communales et une administration régionale de la région bruxelloise. Il s’agit pour ces acteurs, par un cycle d'expériences, évaluations, et ajustements successifs, de reprendre en main la collecte et le traitement de leurs déchets verts en vue d‟une écologisation de leurs pratiques.

2020-2021. Flux.us

L’étude flux.us propose des outils de compréhension et d’action pour les institutions bruxelloises accompagnant le développement des projets d’économie circulaire. Elle offre une vision globale, concrète et synthétique de l’écosystème de l’économie circulaire bruxellois, identifie les produits/services les plus prometteurs destinés à recevoir un soutien de la politique industrielle circulaire au regard des critères fixés par le Gouvernement et propose des mesures d’intervention publique/recommandations .


2018 - Quatre saisons au verger d'Italie: un puits de FRAÎCHEUR

En 2016 s’est développé un projet de verger urbain sur une ancienne friche à Ixelles, Avenue d’Italie. Ce projet innovant souhaite montrer à l’ensemble des propriétaires de friches urbaines qu’il est possible de les valoriser, grâce à des investissements faibles, pour l’ensemble de la communauté et des riverains. Aujourd’hui, le verger d’Italie est devenu un bien commun à la fois beau, productif et pédagogique qui chaque année devient de plus en plus attractif…

Quelle participation dans les grands projets de la Région bruxelloise ? (débat radio)

Selon toute vraisemblance, les luttes écologiques et sociales sont liées. Qu‘il s’agisse par exemple des zones à défendre (« ZAD ») contre la construction d’un aéroport à Nantes, de la mobilisation contre une maxi-prison à Haren ou de la possibilité de construction d’une méga-usine de biométhanisation en Région de Bruxelles-Capitale, la lutte est portée par des acteurs qui se mobilisent autant contre des structures capitalistes et productivistes peu démocratiques et peu transparentes qu’en faveur du développement d’autres modes de gouvernance qui permettraient un dialogue social plus fluide et plus équilibré.