Vous êtes propriétaire d’un terrain, vous êtes locataire, vous êtes jardinier, vous êtes architecte, vous voulez vendre, construire, jardiner… vous devez vous assurer que votre terrain n’est pas pollué et réagir à l’annonce d’une possible pollution.
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Vous êtes propriétaire d’un terrain, vous êtes locataire, vous êtes jardinier, vous êtes architecte, vous voulez vendre, construire, jardiner… vous devez vous assurer que votre terrain n’est pas pollué et réagir à l’annonce d’une possible pollution.
La ville est par nature extrêmement consommatrice et presque entièrement dépendante de ressources externes – énergie, eau, alimentation. A mesure qu’elle croit et s’étale, elle pèse de plus en plus sur les écosystèmes
Sous la bannière de l’ « agriculture urbaine » se regroupent un ensemble de projets et d’initiatives qui, bien que fort différents, poursuivent une même vision : celle de rendre la ville plus autonome et plus résiliente en y intégrant des activités du secteur primaire de l’économie.
La notion de « bien commun » peut-elle nous aider à transcender les oppositions parfois si véhémentes qui existent entre le « public » et le « privé »?
Bruxelles est une ville haute en couleur qui recèle d’initiatives originales. Parmi elles, il y a des projets incroyables de permaculture et d’horticulture en contexte urbain, parfois bien cachés, qui s’inscrivent dans un vaste mouvement (agri)culturelle de changement de nos habitudes de production et de consommation. Ces projets étonnants sont souvent discrets ou peu connus du grand public, mais quelle surprise de les découvrir si proches et si aboutis !
Dans le cadre de l'Opération Phosphore qui recherche des solution décentralisées de gestion des matières organiques, nous nous interrogeons sur la possibilité de la micro biométhanisation comme moyen de traitement.
180 000 tonnes de déchets organiques sont produits chaque année à Bruxelles. Ces déchets proviennent des ménages, de l'Horeca, des parcs et des jardins. Bien qu'ils représentent une grande ressource en phosphore et en azote, 79% est incinéré.
Le but du jeu est de réaliser un maximum de projets sur le plateau de jeu en gagnant un maximum de points. Un projet est réalisé ou contré à chaque pli (un pli correspond à un tour de table).
Suite à un dialogue avec Aurore Chaigneau, professeur à l’université de Picardie Jules Verne, dans l’émission « dans le plus simple appareil » [2] diffusée sur Radio Campus le 7 novembre 2015, il ressort que le « commun » n’est pas une catégorique juridique à part entière. Il trouve une place assez étriquée dans le droit patrimonial de la famille qui forme la communauté des époux. En dehors de cette communauté, le commun se pose comme une création
Construit sur une des dernières réserves foncières de 24 hectares de la ville, le futur quartier Josaphat souhaite apporter un élément de réponse au consensus de toutes les échelles décisionnelles de la ville: le boom démographique. Mais qu'en est-il au niveau de la coopération entre les différents acteurs de la ville? Autrement dit, comment fait-on à l'aune des enjeux contemporains pour réaliser un projet si vaste? Comment fait-on des compromis? Comment mène-t-on ce qu'on appelle si couramment la "participation" avec la société civile? Au regard de ce qui se passe par exemple avec le Common Josaphat, comment devrait fonctionner la participation dans un monde idéal?
Gaïa Scienza est un magasine d'information et d'analyse sur les enjeux de l'écologie urbaine en Région de Bruxelles-Capitale et au-delà. Elle analyse et approfondit de manière dialectique et divertissante les thèmes importants de l'écologie urbaine.
Après le succès du premier Workshop intituté, le CEU ASBL a organisé un second Workshop avec les premiers résultats de l'Opération Phosphore
Deuxième partie de notre diptyque consacré au projet Josaphat à Bruxelles, futur quartier au nord-est de la ville, entre l'aéroprt et le quartier européen, qui verra le jour dans quelques années sur une friche de 24 hectares.
La région de Bruxelles-Capitale exerce sur son environnement une pression constante que de nombreux facteurs tels que la pression démographique ou la spéculation sur les terres agricoles ne semble pas alléger.
Les années de guerre sont souvent synonymes de pénurie alimentaire. Les traces des défis du quotidien et des réponses apportées perdurent dans les archives, dans les greniers et dans les mémoires
Suite à l’appel de Vandana Shiva l’année dernière à Londres pour la création d’un « festival des semences libres » et pour encourager les initiatives locales autour de la problématique des semences à Bruxelles, Londres, Varsovie, Athènes, Amsterdam, et d’autres, le Centre d'écologie urbaine, Demeter International et des nombreux partenaires organisent la première édition du Zaden Festival des Graines.
- Bienvenu à l’apéritif du Zaden Festival des graines. Que désirez-vous manger ? - Je ne sais pas, quelque chose de frais… une salade de tomates par exemple. - « Une salade de tomate ». C’est tout ? C’est un peu court.
Suite à l’appel de Vandana Shiva l’année dernière à Londres pour la création d’un « festival des semences libres ». Dans ce cadre, le Centre d'écologie urbaine, Demeter International vont à la encontre de Guy Bazin dans son jardin: Guy est un amoureux de la biodiversité sauvage et cultivée et défend une agriculture plus résiliente
Vous et/ou votre organisation souhaitez devenir petit ou grand mécène du ZADEN FESTIVAL DES GRAINESpour mettre du beurre dans les chénopodes (épinards sauvages) et permettre la réalisation de débouchées concrètes comme la création d’une Banque de semences libres : vous êtes invités à participer à la campagne de crowdfunding. Le ZADEN FESTIVAL DES GRAINES vous propose en échange des tas de chouettes graines et un repas sans pareil lors du ZADEN FESTIVAL DES GRAINESl.