Photo de fond CC de Ana Guzzo
En ville, la plupart des eaux de ruissellement se mélangent aux eaux grises dans les égouts. Dans le même temps, la ville puise dans les nappes phréatiques plus ou moins lointaines l’eau dont elle a besoin. La récupération des eaux de ruissellement pour tous les usages non-alimentaires constitue donc un enjeu important pour le développement d’une ville plus résiliente. C’est pourquoi la Ville de Bruxelles (code postaux 1000, 1020, 1120, 1130) a mis en place un système de prime à l’installation d’infrastructures de rétention et de collecte des eaux de ruissellement. Ces primes s’adressent autant à des particuliers qu’à des entreprises privées ou publiques.
Pourtant, peu d’acteurs ont aujourd’hui recours à ces primes.
Afin d’identifier les raisons pour lesquelles ces primes sont peu utilisées et pouvoir ainsi mieux les valoriser à l’avenir, le Centre d’écologie urbaine a mené une campagne de promotion de ces primes de novembre 2019 à février 2020.
Rapport : “Campagnes prilmes vertes: pour une gestion intégrée des eaux de pluies”
75% du prix du tonneau (hors pose et accessoires). Maximum de 100€
1000€ maximum. +10% si entreprise d’économie sociale. +20 pour un bien destiné à la location. (Condition: minimum 2000 litres + un raccordement à un WC)
20 à 30€ /m². 3500€ maximum. +10% si entreprise d’économie sociale. +20% si visible par 5 autres bâtiments.
75% du prix. Maximum de 1000€. +10% si entreprise d’économie sociale. +10% si plantes favorisant la biodiversité.
75% des travaux. Maximum de 500€. +10% si entreprise d’économie sociale. +10% si plantes favorisant la biodiversité.